- mes vols aller et retour absolument pleins,
- de même pour les vols envisagés par mon ancien chef pour ses vacances,
- Paris rempli de touristes
Bon on est en crise oui ou non ?
En fait, de façon intéressante, j'ai pu avoir un aperçu dans mon travail d'aujourd'hui de sa formation à la crise : comme je viens de vous le dire, objectivement dans l'aérien il n'y a pas de quoi s'affoler. Or justement mes chefs actuels s'affolent, ils convoquent des réunions, dès qu'ils voient une courbe en dessous de celle de l'an passé ils appellent à des actions, des promotions etc.
Ne se rendant pas compte que depuis le début de l'année (au fait l'année chez nous ça commence le 1er Avril, c'est IATA qui a fixé ça, l'association internationale des transporteurs aériens) on s'en sort plutôt très très bien ils sont persuadés que, crise oblige, il faut prendre des mesures pour s'en préparer alors qu'en réalité c'est justement la crise qu'on prépare en agissant ainsi.
Ah la la, heureusement qu'il y a l'Oraorio de Noël de Bach (3990JPY, Tower Records, Shibuya, 6e étage) et mes décorations d'Halloween (Donki, Shibuya, RDC, autour de 1500JPY) pour décompresser.
La bise !
mardi 21 octobre 2008
samedi 11 octobre 2008
J'aime chanter, bis repetita
Les lecteurs assidus s'en souviendront : déjà l'an passé je représentais notre ô combien performante compagnie aérienne nationale en tant que jury du concours J'aime chanter. Cette année rebelote, et alors que la dernière fois le programme mentionnait que j'étais Directeur Commercial Adjoint, cette année, ma carrière a bien progressé vu que je suis carrément devenu directeur commercial.
Voilà donc une bonne soirée passée à écouter des japonais francophiles chanter en français. Ils ont un talent incroyable, ça a été dur de les départager (et de choisir qui gagneraient les billets d'avion...)
Cette année enfin j'ai pu remettre les prix avec des billets géants en carton, c'était du plus bel effet.
Bon maintenant faut que j'aille négocier le pack expat vu mes nouvelles fonctions : appart de 150 m², voiture et place de parking, cours de japonais... Tous ces efforts ont fini par payer !
vendredi 10 octobre 2008
Au risque de me répêter
le Japon, quand ça n'a pas:
- été dévasté par un tremblement de terre,
- brûlé suite à un tremblement de terre,
- été détruit lors de la seconde guerre mondiale,
- été rasé pour être reconstruit en plus moderne,
et bien c'est beau !
A la faveur d'une mission à Nagoya et Osaka mercredi (durant laquelle j'ai pris le shinkansen comme on prend le RER, sans réservation, à attendre le prochain train sur le quai jamais plus de 10 minutes) j'ai pris un jour de congé jeudi à Kyoto.
J'ai beaucoup ri en arrivant dans l'auberge japonaise (qu'au passage mes collègues d'Osaka avaient réservée pour moi en se pliant en quatre et en me procurant moult conseils, cartes et dépliants alors même que je ne leur avais pas dit à eux que je comptais rester mais seulement à mes collègues de Tokyo...) lorsque à l'accueil la fille a pris un air terriblement désolé en m'annonçant que mon repos risquait d'être troublé par la présence de groupes de lycéens qui visitaient Kyoto à cette époque de l'année et qui risquaient d'être bruyants dans le couloir.
Et bien mes amis, le japonais bruyant en voyage scolaire, ça n'a rien à voir avoir le français bruyant en voyage scolaire. Enfin bon ils se rattraperont une fois étudiants, à vomir dans la rue comme les bons nippons qu'ils seront.
Mais le Japon ce n'est pas que temples et jardins: la gare de Kyoto :
Demain je tâcherai de vous fournir une petite astuce de ma composition pour visiter le chemin des philosophes à Kyoto (Tetsugaku no michi, je sais que ce blog est lu par des japanovores), ce qui vous évitera quand vous y viendrez (car vous ne manquerez pas de visiter le Japon, il y a un vol dès demain matin à Roissy si vous voulez, l'AF272) de devoir poirauter dans un bus ou payer un taxi comme conseillé par tous les guides touristiques.
Ja ne !
- été dévasté par un tremblement de terre,
- brûlé suite à un tremblement de terre,
- été détruit lors de la seconde guerre mondiale,
- été rasé pour être reconstruit en plus moderne,
et bien c'est beau !
A la faveur d'une mission à Nagoya et Osaka mercredi (durant laquelle j'ai pris le shinkansen comme on prend le RER, sans réservation, à attendre le prochain train sur le quai jamais plus de 10 minutes) j'ai pris un jour de congé jeudi à Kyoto.
J'ai beaucoup ri en arrivant dans l'auberge japonaise (qu'au passage mes collègues d'Osaka avaient réservée pour moi en se pliant en quatre et en me procurant moult conseils, cartes et dépliants alors même que je ne leur avais pas dit à eux que je comptais rester mais seulement à mes collègues de Tokyo...) lorsque à l'accueil la fille a pris un air terriblement désolé en m'annonçant que mon repos risquait d'être troublé par la présence de groupes de lycéens qui visitaient Kyoto à cette époque de l'année et qui risquaient d'être bruyants dans le couloir.
Et bien mes amis, le japonais bruyant en voyage scolaire, ça n'a rien à voir avoir le français bruyant en voyage scolaire. Enfin bon ils se rattraperont une fois étudiants, à vomir dans la rue comme les bons nippons qu'ils seront.
Mais le Japon ce n'est pas que temples et jardins: la gare de Kyoto :
Demain je tâcherai de vous fournir une petite astuce de ma composition pour visiter le chemin des philosophes à Kyoto (Tetsugaku no michi, je sais que ce blog est lu par des japanovores), ce qui vous évitera quand vous y viendrez (car vous ne manquerez pas de visiter le Japon, il y a un vol dès demain matin à Roissy si vous voulez, l'AF272) de devoir poirauter dans un bus ou payer un taxi comme conseillé par tous les guides touristiques.
Ja ne !
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