dimanche 30 avril 2006

Non, ce blog n'est pas mort !

Allez chercher tambours et trompettes, troubadours et crieurs publics, organisez-moi défilés et processions, ripailles et festoiements, et faites répandre le message, le mot d'ordre unique et percutant suivant : non, ce blog n'est pas mort !!!
Il faisait le mort, nuance.
C'est une vieille technique apache pour mieux étudier l'ennemi, s'écrouler par terre en poussant des râles et des trémolos decrescendo et voir comment il réagit. Si par exemple, croyant la victoire acquise (l'idiot) il s'arrête de combattre et prend un thé sur le coup des 17h, vous saurez que c'est à cette heure là qu'il faut se relever et attaquer, les faire tous prisonniers et les obliger à boire du café, ça les assomera.
Bon bref, vous n'alliez tout de même pas croire que c'est la fainéantise, mère de tous les vices, qui avait interféré dans l'écriture de ce recueil électronique. Un peu quand même ? C'est la preuve que vous commencez à me connaître.
OdgG, (Or donc grand Gousier pour les gens à la mémoire courte), durant cette poignée de jours (comment ça c'est plus qu'une poignée ? mais tu le veux mon poing dans ton nez toi ? (humour)) j'ai été cherché l'inspiration dans les profondeurs du dedans de moi-même et autant vous l'avouer tout de suite, ça va décoiffer. On devrait peut-être prévenir les media sinon les hôpitaux ne vont pas comprendre l'afflux soudain de patients qui n'arrivent pas à ôter ce rictus de joie de leur visage même en leur rappelant les horreurs du monde moderne : tchernobyl, les manifs, le foie gras bientôt interdit aux USA (c'est de l'humour américain : ils trouvent scandaleux qu'on inflige un tel traitement à des pauvres canards innocents, certains comparant leur sort aux détenus d'Abu Graib), mon chat qui est seul à la maison depuis trois jours maintenant...
Il y a autre chose, durant cette brève interruption de verbage, j'ai pu noter que certains de mes fidèles lecteurs ont été lésés. Si. Et là, je pousse un cri. Il est absolument inacceptable qu'après avoir écrit de leurs blanches mains (ou quelle que soit la couleur de vos mains) un commentaire relevant bien sûr un petit détail subtil que certains autres lecteurs n'avaient peut-être pas décelé sur un article, ou toute autre flatterie à mon égard, le commentaire n'apparaisse pas. Je m'insurge. J'irais bien m'enchaîner aux grilles de Blogger qui héberge ce blog ou même entamer une grève de la faim (après tout, la réputation de la France est déjà faite), mais je ne sais pas où ils sont sis, et je vous avoue que j'ai faim. Un conseil donc, si vous comptez écrire un long commentaire, enregistrez le sur votre disque dur (surtout pas le mou), et conservez le en sécurité chez vous.
Je vous avoue aussi que je suis un peu colère, seuls quelques hardis ont été émettre des hypothèses sur la ténébreuse affaire des chaussettes volantes (et encore, en off).

Ouhla, il faut que j'y aille. Ecoutez, je vais publier le message même s'il n'est pas fini, c'est contre la déontologie de la profession, mais, hardi ! Passons outre (de vin).

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Popopop ma fille on se calme d'abord ca veut rien dire souquez les artimuses !

Qu est ce qui t arrive Seb ? Le stress Accenture ?? Ca manque de soiree jeux pour destresser tout ca !

Bon sur les chaussettes j y ai reflechi en fait je pense que la clef est dans la derniere phrase.

a tres vite